Synthèse des Résultats de mes Recherches : Politique d’action, autistes, Sacrifice, Harcèlement

Écrire la synthèse des résultats de mes deux recherches interventions, est facilité par un évènement lié à ma recherche intervention sur une escroquerie dans une copropriété. Dans l’article

, j’avais écrit que FONCIA faisait appel.

L’audience d’appel s’est déroulée le 13 septembre. La description de son déroulement va me permettre de faire mieux comprendre, sans long développement, les implications pratiques des résultats théoriques de mes recherches.

Je remis mes conclusions au tribunal.

L’avocate d’EMERIA (groupe propriétaire de FONCIA) et celui de FONCIA parlèrent en premier.

Quand vint mon tour de parler, je m’étonnais, en préalable, auprès de la juge, m’ayant demandé si j’avais bien donné mes conclusions aux avocats de FONCIA : « Vous m’avez demandé si j’avais bien donné mes conclusions aux avocats de FONCIA, mais vous ne l’avez pas demandé, en inverse, aux avocats de FONCIA; or les affirmations de l’avocate ne m’ont pas été communiquées avant »

Elle me demanda si je voulais que l’avocate transmette des pièces complémentaires, je lui dis non.

Ensuite, elle me fit des remarques sur mes postures pendant ma « plaidoirie » puis me coupa à plusieurs reprises pour écarter mes propos. Je ne comprenais plus et instinctivement, je m’écriais (attention, façon autiste, j’ai dû, peut-être, élever un peu la voix et, sans doute, accélérer légèrement le débit, mes capacités en ce domaine étant assez limitées) :

« Je suis autiste, je ne comprends pas vos codes sociaux ! »

J’ai écrit instinctivement, car cette réaction est inattendue pour moi.

Je suis autiste, avec des caractéristiques, non pas d’hypersensibilité, mais d’hyposensibilité. Et comme elles sont associées à une difficulté (dans l’enfance, c’était quasi impossible) à exprimer (et à reconnaître) le mal-être, je pouvais me trouver « bloqué » et dans l’impossibilité de prendre une décision.

Là, je me trouve dans une situation, où mon centre d’intérêt, presque unique, est la recherche, c’est-à-dire comprendre. Si je n’avais pas réagi, ma recherche intervention était invalide. Dans celle-ci, je ne peux être qu’observateur avec un seul objectif : comprendre.

Dans l’article  https://2avsto.fr/2023/09/07/resultat-commun-aux-deux-recherches-interventions-analyse-socioeconomique-et-action-syndicale/

J’avais expliqué avoir débuté mon apprentissage de chercheur (non professionnel) en partenariat avec l’institut de recherche ISEOR https://recherche.iseor.com/

Cette formation a été conclue par un mémoire consultable par le lien suivant :  https://wp.me/PdwCuG-i   (page recherche de ce site)

La méthodologie développée avait pour objectif de calculer des coûts cachés (principalement). Dans cette théorie socioéconomique, son fondateur, Henri SAVALL a réalisé un travail épistémologique considérable. La place de son concept d’« effet miroir » traduit l’importance essentielle du regard : le regard du chercheur extérieur doit être le reflet (effet miroir) de la perception intérieure des acteurs.

Dans les deux recherches intervention (et plus encore celle dans une copropriété), il ne s’agit pas de calculer, mais de dévoiler à des acteurs, ce qui est volontairement caché à leurs yeux, par des acteurs agissant dans la même « organisation ». Et ce dévoilement doit induire une « conversion » entraînant une action.

 Le regard est donc, là, intérieur à l’organisation et la théorie socioéconomique, avec sa méthodologie, inopérante. Je me suis donc tourné vers une théorie anthropologique.

Élisabeth COPET-ROUGIER, Christian GHASARIAN, « ANTHROPOLOGIE », Encyclopædia Universalis

« Le paradoxe de la démarche anthropologique réside donc, comme le souligne Claude Lévi-Strauss, dans le fait que l’on y “cherche à faire de la subjectivité la plus intime un moyen de démonstration objective”

La méthode et l’histoire de l’anthropologie se confondent quant à leur rapport à l’objectivité. Ses objets, ses concepts et ses théories ne sont pas nés d’un seul mouvement ».

Le domaine est si vaste que ce mouvement a abouti à des classements et des divisions entre domaines de cette nouvelle discipline

 Maurice GODELIER, «ANTHROPOLOGIE ÉCONOMIQUE», Encyclopædia Universalis

Georges BALANDIER, « ANTHROPOLOGIE POLITIQUE », Encyclopædia Universalis

Sophie HOUDART, « ANTHROPOLOGIE DES SCIENCES », Encyclopædia Universalis

Thierry BOISSIÈRE, «ANTHROPOLOGIE URBAINE», Encyclopædia Universalis

Virginie MILLIOT, « ANTHROPOLOGIE DES CULTURES URBAINES », Encyclopædia Universalis

Arnaud HALLOY, «ANTHROPOLOGIE COGNITIVE», Encyclopædia Universalis

Julien BONHOMME, «ANTHROPOLOGIE DE LA COMMUNICATION», Encyclopædia Universalis

Brigitte DERLON, Monique JEUDY-BALLINI, « ANTHROPOLOGIE DE L’ART », Encyclopædia Universalis

Anne-Christine TRÉMON, «ANTHROPOLOGIE DES DIASPORAS», Encyclopædia Universalis

Frédéric KECK, Christos LYNTERIS, «ANTHROPOLOGIE DES ZOONOSES», Encyclopædia Universalis

Cyril ISNART, « ANTHROPOLOGIE DU PATRIMOINE », Encyclopædia Universalis

Un domaine a particulièrement insisté sur l’importance du regard

Damien MOTTIER, « ANTHROPOLOGIE VISUELLE », Encyclopædia Universalis

« Le regard ethnographique

Regarder est une opération fondamentale de la démarche ethnographique. Il s’agit de se faire une place sur le terrain pour élaborer de l’intérieur un point de vue qui favorise l’étude et la compréhension d’une population donnée. La pratique du terrain est ainsi fondée sur une technique d’enquête usuellement désignée sous l’expression “observation participante” et sur la capacité de l’ethnographe à inscrire sa présence au sein des situations qu’il cherche à décrire et à interpréter. »

Et une discipline a centré sa réflexion sur les autres domaines et aurait pu se nommer épistémologie de l’anthropologie.

Olivier LESERVOISIER, « ANTHROPOLOGIE RÉFLEXIVE », Encyclopædia Universalis

« L’anthropologie réflexive consiste en la restitution et en l’analyse critique des conditions de production d’un savoir anthropologique. Elle s’intéresse aussi bien aux modalités de réalisation de l’enquête de terrain qu’aux contextes académiques et institutionnels dans lesquels évoluent les chercheurs, ainsi qu’aux enjeux politiques et éthiques de la recherche, comme ceux du retour de l’information, du choix des formes d’écriture, de l’engagement ou des usages sociaux des savoirs… »

« La publication en 1967 du journal posthume de Malinowski marque une étape importante dans la prise de conscience de la nécessité de ne plus passer sous silence les effets de la dimension intersubjective de l’enquête de terrain. En dévoilant les frustrations et les colères de l’ethnologue contre ses hôtes, l’ouvrage révèle le caractère illusoire d’une observation neutre et montre la manière dont le chercheur est impliqué émotionnellement dans son objet d’étude, ce que souligne avec force la même année l’ethnopsychanalyste G. Devereux (1967). »

« s’interroger sur les modalités de l’observation participante, chère à l’approche ethnographique, mais dont l’application est loin d’aller de soi, au point que la formule est souvent comparée à un oxymore. Comment, en effet, concilier l’implication et la distanciation ? Comment y parvenir selon les spécificités propres à chaque enquête »

Cette démarche s’impose d’autant plus, car, comme le relevait Claude Lévi-Strauss dans ses commentaires sur l’œuvre de Marcel Mauss : « Dans une science où l’observateur est de même nature que son objet, l’observateur est lui-même une partie de son observation ».

Enfin, le dernier domaine de cette discipline renoue avec l’ontologie

Frédéric KECK, « ANTHROPOLOGIE ET ONTOLOGIE », Encyclopædia Universalis

« L’anthropologie s’est définie contre la métaphysique classique en remplaçant un discours sur Dieu comme fondement de toutes choses par un discours sur l’homme comme sujet et objet de connaissance (Foucault, 1966), elle a renoué depuis les années 1980 avec l’ontologie, définie comme un discours sur ce qui est, pour affirmer la réalité des phénomènes sur lesquels porte son enquête. »

Tout comme Simone Weil avant lui, René Girard est convaincu que les Évangiles, bien plus qu’une simple théologie, constituent une véritable anthropologie, car elles sont les premières à déconstruire le mythe, à lever le voile sur la violence collective et son emballement mimétique.

Girard, après avoir fait œuvre d’anthropologie (dans son livre « majeur » (comme on dit) dans ce domaine : « La violence et le sacré »), a essayé de démontrer, dans la troisième partie du livre suivant « Des choses cachées depuis la fondation du monde », l’affirmation ci-dessus. Le paradoxe est que, par la suite, sa méthodologie, l’intertextualité, ne s’appliquait plus à des textes « d’enquêtes de terrain », l’approfondissement d’une réflexion épistémologique  n’était plus nécessaire.

Quant à Simone Weil, la nécessité d’enquêtes de terrain s’est imposée à elle. Mais Emmanuel Gabellieri dans « Joseph Wresinski et Simone Weil : anthropologie relationnelle et philosophie de l’action, pages 267 à 276 » n’a pu employer ces termes d’anthropologie relationnelle et de philosophie de l’action qu’après analyse de ses textes philosophiques.

Il était donc indispensable de définir mon regard d’observateur de l’intérieur.Et un observateur, qui pour ne pas modifier l’action observée, doit avoir un regard d’un « petit », comme je l’ai écrit dans l’article

Mais, les petits, définis selon les béatitudes de l’Évangile de Saint-Mathieu, ne peuvent donner des implications pratiques, en vue d’une philosophie de l’action.

Au risque d’être accusé de provocateur, je vais me référer à un autre Évangile, montrant la valeur anthropologique de ces Évangiles. (Je rajouterais : leurs lectures donnent la clé pour provoquer une rupture anthropologique).    

Luc 6 ; 30 —36 « En ce temps-là, Jésus levant les sur ces disciples, déclara « Heureux, vous les pauvres…. »

 Jésus lève les yeux sur ces disciples. Quand on lève les yeux sur quelqu’un en face, ce ne peut être possible qu’à la condition de se tenir dans une position assise au milieu d’eux ou à genoux.

René Girard en a donné la raison dans son analyse de l’épisode de la femme adultère : éviter d’apparaître comme un rival.

C’est tout simplement ce qu’on recommande à quelqu’un, rencontrant un chien (ou un autre animal) : ne pas le regarder dans les yeux. Autrement dit, accepter de n’être pas un « dominant ».  

À l’audience, je n’eus pas d’explication, mais l’attitude changea et je compris simplement que ce n’était pas un comportement « habituel ». Cela suffit à me faire entendre (attention, je n’ai pas écrit écouter), j’étais donc sûr (j’ai eu un moment de doute, par la question du juge) que les questions de FONCIA, par l’intermédiaire de l’avocate de sa maison mère, cachaient une arrière-pensée, que j’étais incapable d’appréhender.  Peu importe, un chercheur n’a pas à se préoccuper d’arrière-pensées : c’est ma traduction d’une des phrases d’Henri SAVALL, fondateur de l’ISEOR et de la théorie socioéconomique des organisations, dans son cours d’épistémologie « Les pensées des personnes sont comme le gaz, invisibles. Elles ne sont connues qu’une fois exprimées ».

J’avais été définitivement relaxé, en première instance, et FONCIA faisait appel pour me réclamer des dommages et intérêts, dans le cadre d’une chambre « intérêts civils ». L’avocate d’EMERIA se fit encore plus insistante qu’au tribunal correctionnel, pour que j’explique le mécanisme d’escroquerie et de détournement de fonds, en me prêtant des phrases et en citant des chiffres, que je n’avais pas écrits.

Pour moi, me définissant comme lanceur d’alerte, cette plainte signifiait que je donnais à la société, représenté par le doyen du juge d’instruction, les éléments dont je disposais. La « Société » devait se prononcer sur ces éléments, et je n’avais pas à m’immiscer dans son « avis/ordonnance » à rendre, ni même à révéler les éléments produits (ou non). Et FONCIA connaissait le but poursuivi, révélé, en avril 2022, par le premier article publié, partie prenante de cette recherche intervention dans une copropriété :

« Il  faut le saisir (procureur de la République), pour qu’il agisse, au nom de la société, et réhabiliter le droit comme rempart de la violence (et du harcèlement.) » « 

FONCIA savait que la publication de ces articles servait à recueillir des informations, pour les remettre au procureur. Les relayer sur LINKEDIN permettait d’obtenir ces renseignements, auprès de professionnels de l’immobilier. Ce fut l’un des éléments retenus par le tribunal de première instance pour me juger de bonne foi.

Surtout, FONCIA savait que ces renseignements ne devaient pas servir, au départ, à porter plainte contre ce syndic, mais à obtenir la preuve décisive pour confier l’affaire au tribunal pénal contre l’ancien syndic, et non pas contre FONCIA.

Avec la citation directe, je recueillais cette preuve décisive, permettant, avec la copropriétaire, qui me l’avait fournie, de porter plainte auprès du doyen des juges d’instruction.

Je l’écrivais dans un article, cité à la première audience :

“… quel rôle joue FONCIA, dont l’ancienne gestionnaire s’était opposée par écrit à une plainte pénale contre Rhône Saône Habitat, dans cette affaire ?

Ces questions dépassent la copropriété, mon  rôle de lanceur d’alerte s’arrête, je ne pourrai obtenir la réponse à ces questions, ni seul, ni même aidé. Elles montrent l’ampleur de ce dossier, et seule La Justice, représentante de  la société, peut y répondre et donc doit  être saisie. Mais, pour ce faire, je devais trouver la preuve et la transmettre à la justice.”

Autre extrait ; “Entretemps, une copropriétaire…, devenue membre du conseil syndical, m’informait de sinistres dégâts des eaux dans son appartement, situé au dernier étage de (son) allée” 

La clé de ma philosophie de l’action est là.

Dans l’article, objet de la citation directe de FONCIA, j’avais bien écrit que l’escroquerie, que je décrivais, avait débuté, à mon arrivée dans la copropriété en 1992. Tant que je ne pouvais soupçonner qu’une “fraude” de quelques dizaines d’euros par appel de fonds au profit de quelques copropriétaires, agir pour les supprimer ne m’intéressait pas. Je n’étais pas adepte de la théorie du chaos. 0N FINIT toujours par ressembler à ses ennemis »… Cette phrase, empruntée à Borges, résume bien les raisons de cette attitude.

Quand j’ai étudié le dossier de cette copropriétaire, j’ai découvert, petit à petit, que la copropriété, construite par les HLM de cette ville, était divisée en deux. Quatre allées étaient réservées pour une location des logements, par l’office HLM. Trois d’entre elles étaient mal entretenues et présentaient des malfaçons. Celles-ci avaient provoqué dans quelques appartements (un par allée) des dégâts…

Ces appartements furent vendus, en toute connaissance de cause, sans que les sinistres soient portés à la connaissance des acheteurs. Les  traces étaient effacées, mais les causes, non traitées.

Pour traiter ces causes, des travaux importants pour ces allées étaient nécessaires, que l’office HLM ne voulait pas engager, tant que suffisamment d’appartements, dans ces allées, soient vendus. Et les acheteurs n’avaient pas la surface financière pour payer des travaux importants.

Ils étaient promis aux sacrifices. Le mot n’est pas trop fort. Pour isoler ces copropriétaires et éviter des déclarations de sinistres… Toute une stratégie avait été mise en place. La décrire ici n’apporterait rien, le temps de la dénonciation est terminé, c’est à la justice de se prononcer. Sachez  que des tensions (entre copropriétaires, entre locataires, entre copropriétaires et locataires…).  Les tensions, dans des quartiers populaires, les mettaient réellement en danger (des plaintes et des mains courantes furent déposées) …

Refusant ces sacrifices, je dus mettre en cause la gestion des syndics successifs (sinistres et comptabilité). En me contentant de montrer aux autres copropriétaires les défauts de gestion, j’obtenais la même réaction que Jésus, avec ses paraboles. Ceux à qui il s’adressait ne le comprenaient pas, mais les « puissants » de son époque comprenaient qu’il cherchait à instruire les « gens » de choses, qu’ils voulaient tenir, eux, toujours cachées. Ils voulurent le tuer…la suite, vous la connaissez ! Je fus donc, logiquement, pris pour cible !    

 Notre époque ne permet plus, aussi facilement, une mise à mort réelle (elle peut conduire au suicide), seulement à un harcèlement institutionnel, contre lequel certains paraissent immunisés, et savent y résister.

Résister suffit : dans le cas de cette copropriété, me prendre pour cible n’a pas réussi à FONCIA. Son aveuglement à surestimer mon influence et à se positionner, lui, le syndic n° 1 en France, en rivalité avec moi, l’a conduit au déni du risque qu’il prenait. Il ne gérait plus et cette absence de gestion a conduit  le conseil syndical à vouloir changer de syndic. Le 5 août, le tribunal ordonnait la nomination du syndic gestionnaire et de proximité.

Les résultats de cette recherche intervention m’ont certes amené à me conforter, dans mon hypothèse, exposée à la fin de l’article

« Sans reprendre  toute l’histoire de l’évolution de cette hypothèse de départ (qui suit la méthodologie de recherche, exposée dans le mémoire de master 2 (cf. page recherche), je remets en cause, in fine, non pas le meurtre fondateur, mais son récit. Il est beaucoup plus simple (on ne se heurte pas aux difficultés exposées dans la page recherche) et logique d’envisager le (ou les) comme le résultat de luttes entre deux (ou plus) dominants pour  le contrôle d’un territoire (d’une tribu…). » 

Et à faire la différence entre système sacrificiel, sacrifices humains et bouc émissaire…

Mais surtout, ils me permettent de rejoindre la théorie socioéconomique.

À l’heure, où le logement social est en crise, je vous ai présenté une copropriété, construite par un office HLM. La division entre logements achetés par des copropriétaires privés et logements destinés à la location par le bailleur social. C’est une solution de financement idéale, dans le contexte actuel.

Si vous ne l’avez pas deviné, je vous l’écris, les copropriétaires sacrifiés étaient tous des immigrés (ou issus de l’immigration). Il n’y a aucun racisme, du moins je pense, chez les institutions, qui leur ont vendu ces appartements, simplement des considérations de revenus.

La tentation pour certains, de jouer sur ces différences, n’a pas réussi.

La venue du nouveau syndic gestionnaire doit permettre de calculer les coûts cachés pour la collectivité, des mises en tension des résidents de la copropriété. Et de montrer (en essayant de le chiffrer) le gain d’un « vivre ensemble » concret, qui permette d’ériger en modèle, ce type de financement des logements sociaux.

Le jugement d’appel est paru, vous pouvez le consulter et le télécharger en cliquant sur le lien de l’article, modifié le 14/10/2024

https://2avsto.fr/2024/05/22/le-lac-sacre-cette-bd-qui-a-inspire-des-methodes-daction-syndicales-integrant-les-atypiques-et-utilisees-dans-les-deux-recherches-intervention-decrites-sur-ce/

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