
Après le succès du premier article LA POSTE, après sa cousine France Telecom, sera-t-elle la nouvelle entreprise condamnée pour harcèlement moral institutionnel ? Les révélations sont des actions ! – l’asAssociation d’aides des victimes de souffrance au travail organisationnelle (2avsto.fr) ; publié sur le site de l’Association d’aides des victimes de souffrance au travail organisationnelle, j’ai reçu, en privé, quelques réactions de personnes connaissant superficiellement les événements de 2008 et ne distinguant pas unharcèlement morald’un harcèlement moral institutionnel ou organisationnel. Cette « ignorance » empêche le postier lecteur de comprendre pourquoi la révélation de ce type méconnu d’harcèlement est une action décisive au service des syndicats et autres collectifs de l’entreprise.
En 2008, mon patron de l’époque m’a confié une mission : La fermeture d’un centre de tri. Nous avons convenu d’une lettre de mission, qui, pour respecter les règles juridiques, devait être signé par le directeur du Rhône. Les objectifs étaient clairs et les moyens décrits. Par ailleurs, était constitué une équipe à la direction du Rhône, interface entre notre équipe et les services supports.
L’une des faiblesses d’un autiste est sa naïveté dans les rapports sociaux. Elle est compensée par la recherche de règles sur lesquelles s’appuyer pour pouvoir agir, décider. Ainsi toute dérogation à la règle sera détectée rapidement par un autiste, et si elle est fréquente, étudié. Si elle est accompagnée de leurres, dont la détection est une autre force des autistes, c’est le système qui devra être corrigé (ou révélé comme nocif…) Je ne savais pas que j’étais autiste, mais j’agissais ainsi. J’ai pris comme règle la lettre de mission et agi et décidé selon elle. Voyant qu’en discutant de mes décisions avec la direction, la mission prenait du retard et risquait d’échouer, je pris une décision, seul, sans même en informer l’équipe interface.
La réaction de la direction fut d’une violence inouïe :

Déclenchement d’une enquête administrative. Je n’ai compris qu’à ce moment, d’une part, que la prime de 5000 Euros pour la mission cachait un départ définitif de l’entreprise, car je n’avais plus de poste et d’autre part, LA POSTE ne m’en donnerai pas. Ma naïveté, comme dans les livres d’Exbrayat ou dans certains films, fut payante : La décision que j’avais prise, détermina la réussite de ma mission, et ne contrevenait pas aux règles édictées. De ce fait, l’enquête administrative ne déboucha sur rien : aucune sanction, ni même menace de sanctions. Et, plus tard, je demandais réparation : Le financement d’un master 2 à l’IAE de LYON. Il fut accordé et une convention signée
LA POSTE tenait à mettre une clause, que, naïvement, j’acceptai, mais là encore ce fut une force car apparaissait en page 2 le motif de cette violence et ce que je qualifie d’harcèlement moral institutionnel : me faire prendre des « mesures d’âges » ou préretraite. Là encore, ma naïveté me permit de passer mon chemin, sans faire attention aux pressions : Voir l’article les racontant et décrivant d’autres méthodes de voyous
F.-X. NICOLLE vs Jean-Paul BAILLY : La souffrance ou la confiance au travail | LinkedIn
La POSTE dut signer une autre convention plus conforme, à la demande de l’IAE.
Sur ce site existe une page recherche. Tous les articles 2022 s’appuieront tous sur ma particularité d’autiste, me donnant une place d’observateur/chercheur.

Cette citation qui semble, puisque c’est une citation publique, montré la « voie de la sagesse » est le comportement naturel d’un autiste. S’il ne l’adoptait, il sait ce qu’il deviendrait

En 2008, je ne me suis pas préoccupé du sort de l’équipe interface. J’ai considéré que c’était un problème entre LA POSTE et elle : Quels étaient les règles données à cette équipe ? Et si j’en juge par les réactions de ceux qui ont connu le contexte, cette réaction naturelle ne l’est pas pour un neurotypique. Mais, pour ce cas, cela constitue une faiblesse pour les neurotypiques et une force pour les autistes. Voir qui déroge aux règles permet de savoir qui harcèle et de le faire cesser.
CONCLUSION : J’espère vous avoir fait comprendre la conclusion du premier article : « La Poste a sagement capitulé : Elle a accepté que les agents concernés ne signent pas. La Poste montrait ainsi que l’utilisation de l’Article 40 du code de procédure pénale représentait un risque, à ses yeux. Les révélations sont des actions ! ».
En reculant localement de cette façon, tout en maintenant la proposition d’avenant sans mention de poste avec la présence d’un article sur la rémunération insistant sur le lien entre cette rémunération et le niveau de classification, sous prétexte que c’est une décision nationale non discutable, mon ancienne directrice a permis de révéler que LA POSTE propose de tels avenants sur ses agents en sureffectifs (ou en transition professionnelle, selon la terminologie postale actuelle) à aptitude réduite et a bien conscience que cette pratique représente pour LA POSTE, un risque juridique. Les postiers lecteurs, ayant reçu de tels avenants, peuvent faire remonter de tels faits, l’Association d’aides des victimes de souffrance au travail organisationnelle les analysera avec eux et utilisera, si nécessaire, cet art. 40.
2 commentaires sur “Voyage dans le cerveau d’un autiste pour découvrir une méthode de voyou caractéristique d’un harcèlement moral Institutionnel. Les révélations sont des actions !”