La gestionnaire de notre syndic et notre syndic profitent de la méconnaissance des schémas comptables, (par les copropriétaires de l’immeuble où ma femme et moi vivons), pour mettre en place un mécanisme de détournements de fonds.
Je savais, par mes discussions avec l’ancienne gestionnaire, qu’il ne serait pas mis en place, tant que je serai au conseil syndical. Et que si je restais, ce seraient des manœuvres incessantes pour m’isoler et rendre ainsi la révélation de ces détournements inopérante. Elles avaient commencé et autiste, je ne m’en étais aperçu trop tard pour éviter le dépôt d’une plainte contre notre syndic et l’ancienne gestionnaire.
Une stratégie fut définie à quatre. Je me retirai du conseil, après l’avoir annoncé à l’ancienne gestionnaire, pour me permettre, uniquement, de rechercher la Vérité.
Cette quête a abouti à une plainte, déposée ce jour contre la gestionnaire de notre syndic et notre syndic, dont les extraits sont publiés, en exergue de cet article.
La violence peut se déchainer, la vérité est maintenant présente sur ce site et se diffusera !….dans les autres copropriétés gérées par notre syndic ? dans les autres ? dans la société, car les mécanismes en place ressemblent à d’autres secteurs ?….
Si ces tentatives d’intimidation ont cessé, une autre est survenue. Son origine n’est, cette fois, pas cachée : Elle vient de notre cher syndic. Hier, ma femme a réceptionné une LR/AR de relance pour des soi-disant impayés. Nous ne recevions plus d’appels de fonds depuis que j’avais, à partir du dernier appel, démontré à tous les copropriétaires, une « erreur » sur la répartition des charges.
Un copropriétaire m’ayant montré son appel, j’avais, à partir de cet appel, démontré à tous les copropriétaires, que les charges appelées représentaient 28,83 % d’augmentation du budget prévisionnel présenté à l’A.G. de juin 20222 et que cette augmentation n’avait pas été votée en Assemblée Générale.
Le conseil syndical (ou certains de ses membres, je ne sais) a demandé des explications sur cette augmentation, et ne les a pas reçues. Suite à mes articles parus sur ce site, les professionnels de l’immobilier ont très bien compris quel était notre syndic et j’ai pu, après leurs réactions, connaitre les méthodes process de notre syndic. J’ai donc porté plainte, en citant avec prudence l’article 312-1 du Code pénal (au Procureur de qualifier les faits relatés). Vous pouvez consulter les extraits de cette plainte.
La publication de cet article a eu l’effet escompté. Ces tentatives d’intimidation ont cessé et des clous n’ont pas été plantés dans l’un des pneus gauches. Aujourd’hui, car la meilleure protection est de faire connaitre ces révélations, je révèle pourquoi « …. je prévoyais un possible danger de mort. » Dans
J’écrivais : « J’ai, ainsi reçu copie d’un échange de mail entre le comptable de notre syndic et celle d’un autre syndic. Ces deux syndics sont en relation, car l’entrée d’un immeuble de Lyon est commune à quatre copropriétés. Chacun des syndics gère deux copropriétés. La répartition des charges figure, dans le règlement de copropriété de l’une des copros gérées par l’autre syndic.
Etaient jointes, dans ces mails, des factures, émises par le comptable de notre syndic … La répartition des charges est « fausse ». »
En fait, cet appartement du Vieux Lyon appartient à ma femme, qui l’a acheté, à crédit, avant notre mariage, pour avoir son indépendance. Le vendeur était ce que l’on nomme un type « louche » et, était encore copropriétaire de deux appartements de l’immeuble, assurait les fonctions de syndic (sans produire de comptabilité….).
J’ai laissé ma femme gérer son appartement, mais je me suis empressé de trouver un syndic, par la voie judiciaire. Depuis, je m’occupe des relations avec le syndic qui a évolué, via des absorptions successives, de petit syndic, typiquement lyonnais (ce qui est chez moi un compliment) à un grand groupe.
Mais si j’ai reçu copie de l’échange de mails entre les comptables et gestionnaires de ce syndic et du notre, je reste convaincu que c’est la publication, très lue dans le milieu immobilier lyonnais,
qui m’a permis de le recevoir.
Peu après la nomination de ce syndic, et me déplaçant en voiture, avec ma femme, enceinte de notre fils ainé, je fus attiré dans un guet-apens, dans LYON et en plein jour. Bloqué par une voiture, je descendis voir. Deux individus sont sortis de l’autre véhicule. Le plus costaud m’envoya son poing sur l’arcade sourcilière (pour me faire saigner uniquement, le coup n’étant pas douloureux). Le deuxième individu, faisant mine de se diriger vers notre voiture, du côté de ma femme, je réagis instinctivement, en appliquant les leçons de boxe française (pas en rendant des coups, mais en bloquant, avec les bras et avant-bras, ceux de mon adversaire costaud, l’autre jouissant du spectacle).
Je ne développerai pas le sujet, mais mon refus de combattre apaisa la violence et ils quittèrent les lieux, au grand soulagement des « passants », se sentant coupables de ne pas intervenir. Je compris, encore plus la Violence et que « tendre l’autre joue » n’était qu’une image, recouvrant d’autres ressources. Le costaud fut retrouvé, jugé au tribunal correctionnel. Il avait un avocat, moi non. Je compris aussi que par mon attitude, j’avais acquis son respect. Et ce fut réciproque, car il nia toujours avoir eu un commanditaire . La salle était remplie de ses soutiens, j’étais seul. Je ne suis pas sorti sous les acclamations, bien entendu, le respect était dans les regards.
L’appartement, à l’origine, était, à juste titre, considéré comme un logement minable (le prix le reflétait). Près de trente plus tard, situé dans un quartier classé maintenant au patrimoine mondial, il attire. Mais, coincé entre la loi de rénovation énergétique et ce classement, obligeant à passer par les Bâtiments de France et empêchant de réaliser concrètement cette rénovation, vous comprenez pourquoi je me considère en danger de mort et mon qualificatif du système…
Je crains plus celui qui se retire, sans bruit et anonymement qu’un gars des cités, venu, à visage découvert, exécuter un contrat.
Article initial
Clou planté sur le parking souterrain de mon véhicule, pneu arrière droit, entre le 3/11/22 à 17 h 30 et le 4/11/22 à 7 h 45.

Hier, j’avais trouvé le même type de clou dans le pneu avant droit.
Il s’agit, bien entendu, de tentatives d’intimidation. Je porte plainte auprès du Procureur de la République.
Je les relie à mes révélations sur le système du milieu immobilier lyonnais.
La coïncidence des deux derniers articles (27/10 et 3/11) n’est pas suffisante pour l’affirmer.
Aussi je révèle aujourd’hui le lien entre deux articles :
Et
Le 17 août 2020, j’avais fait part à la directrice de l’office HLM du mail, adressé à l’un de ses collaborateurs, chargé de la tranquillité : « …… J’écrivais à M. le Maire que Madame B. avait le profil idéal d’un bouc émissaire, car, avec Madame R., gestionnaire du nouveau syndic, nous avons pu conclure que les malfaçons de l’appartement vendu à Madame B., par l’office, étaient parfaitement connues avant et au moment de cette vente. Aujourd’hui, en révélant que vous connaissiez des faits remontant à 2015 (l’année d’acquisition de l’appartement de Madame B.) entre la famille C. et une famille de l’allée 6, vous reconnaissez que, dès la vente de cet appartement, vous saviez que Madame B. était en danger de mort. … » Et je lui donnais teneur du mail adressé au Maire de notre commune : « Madame B. voulait être propriétaire, et si elle a réalisé son désir, c’est qu’elle avait le profil idéal d’un bouc émissaire. Monsieur D. gestionnaires des « travaux » de notre ancien syndic, (avec un énorme conflit d’intérêt : Son frère, notaire dans le cabinet dont leur père était l’un des fondateurs, a réalisé la transaction entre l’office HLM et Madame B.) s’est chargé de veiller à ce qu’elle soit bien un bouc émissaire et que les « malfaçons » de l’allée 6 soit cachées à l’ensemble des copropriétaires. Je vous ai sollicité, une fois l’ancien syndic et D. parti, car je savais qu’en tant que bouc émissaire et compte tenu du contexte de la place (cf. mail ci-dessous,….. et votre conversation qui s’ensuivit avec Madame R., gestionnaire du nouveau syndic, que je mets en copie, lui donnant ainsi, une grande partie du dossier), Madame B. était en danger de mort. … »
La directrice ne fit rien. Et le harcèlement contre Madame B. se fit plus violent : Elle dut entendre des insultes puis une phrase : « Dégage chez toi » puis, ayant répliqué qu’elle était chez elle « Non, Dégage chez toi, chez ta mère, là-bas, dans le désert ».
Avec plusieurs témoignages, et encouragée par plusieurs voisins, Madame B. se décida, le 15/9/2021 à porter plainte. (Pour la suite cf. article sur le traitement du harcèlement).
En 2020, je prévoyais donc que Madame B. était en danger de mort, parce que les sinistres de son appartement risquaient de révéler les « malfaçons »…puis la comptabilité frauduleuse….puis…..

Dans la liste des emmerdes encourues, je prévoyais un possible danger de mort. La meilleure protection, avec le dépôt de plainte, est de faire connaitre ces révélations.